Souvent en fin d’année, on se demande où sont passées nos bonnes résolutions de début d’année…
Mais pourquoi attendons nous cette période pour se pencher à nouveau sur des sujets qui nous paraissaient importants en début d’année mais que l’on a mis de côté (volontairement ou non) ?
La faute à la procrastination !
Evidience l’a déjà évoqué mais la procrastination se manifeste non pas par un manque d'engagement, mais plutôt un manque de clarté dans le temps : la préférence inconsciente d’une satisfaction immédiate à d’éventuelles récompenses futures
Et trop souvent, en cours d’année, on oublie ce qui nous fait défaut en fin d’année pour privilégier une satisfaction immédiate de chiffre d’affaires au manque de temps et d’argent en fin d’année
La solution ? Le contrôle de gestion.
Certains dirigeants optent pour externaliser alors que d’autres internalisent leur propre contrôle de gestion.
Quelle option est la plus judicieuse ?
Les dirigeantes d’entreprise ont besoin d’un certain nombre de données pour avancer, et ainsi définir une stratégie économique globale, optimiser la rentabilité financière, mais aussi, prévoir les évènements de fin d’année (retards, maladies, impayés…). C'est là qu'intervient le contrôle de gestion.
L’intérêt du contrôle de gestion est la mise en place d’un pilotage pour votre organisation interne annuelle. En comparant les performances et événements passés, le contrôleur de gestion formule des prévisions, définit les objectifs et met en place les moyens pour les anticiper et les atteindre. Il peut également être amené à les rectifier, voire à sonner le tocsin avant la fin de l’année si procédures et stratégies prennent la mauvaise direction.
Cette mission peut tout à fait être prise en charge par le dirigeant lui-même ou être confiée à un membre du personnel. Interne à la société, le contrôleur aura un regard en temps réel sur la comptabilité, les performances des ventes et services ou encore la mise en place des procédures de travail. De plus, il connaît l’entreprise.
Néanmoins, l’inconvénient d’internaliser son contrôle de gestion réside dans le manque d’objectivité du salarié. Bien que son travail exige impartialité, l’image qu’il a de l’équipe dirigeante peut impacter ses résultats. La confidentialité risque aussi d’être mise à mal si le collaborateur discute de la situation de l’entreprise avec ses collègues.
Notez également que les outils de gestion sont coûteux. Progiciels de gestion intégrée combinés à d'autres instruments spécifiques comme applications web, outils informatiques d’aide à la décision ou au calcul de coûts, sont pourtant indispensables pour l'amélioration efficiente de la structure entrepreneuriale.
Vous pouvez sinon décider d'allouer ce budget à l’externalisation de la fonction en ayant recours à un expert en contrôle de gestion. Ce métier est une réelle valeur ajoutée pour un dirigeant. Car qui dit consultant extérieur dit impartialité, expert dans son domaine mais également indépendant dans son travail.
Envie de déléguer cette mission à Evidience ? Prenez rendez-vous et discutons en!
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